Cet os à la forme si particulière  que l’on retrouve chez les oiseaux résulte de la fusion de leurs deux clavicules au cours de l’évolution. Dans nos habitudes il se rencontre principalement au cours du repas dominical, lors de la découpe du divin poulet qui se partage entre tous les membres de la famille. Appelé « os à voeux », il révèle une coutume enfantine qui prétend que lorsque deux individus tirent sur chacun des cotés jusqu’a faire rompre l’os, le voeux du protagoniste qui aura le morceau le plus long, se verra exaucer. Une pratique  qui remonte à plus de 400 ans avant notre ère, à l’époque des Etrusques. Cet usage se présente ici sous la forme d’une faïence fine relevé d’un émail blanc immaculé. Une production ritualisée et une cuisson longue à très haute température lui confère ses propriétés divinatoires. Un outil pour réaliser toutes sortes de voeux, amour, argent, santé, chance, il agit sur tous les sujets. Ces effets sont immédiat et garantie par le fabricant. Il n’est désormais plus nécessaire d’attendre le sacrifice d’un poulet pour pouvoir réaliser ses rêves, l’os à voeux ne demande qu’a être cassé pour libérer ses bienfaits.